Ben voici la réponse (pour le premier clignotement qui est plus long que les suivants). J'ai réarrangé les diverses sondes et mis mon oscillo en mode "single", puis j'ai mis le circuit sous tension.
La courbe jaune représente la tension du condensateur de gauche dans le schéma.
La courbe cyan représente la tension du condensateur de découplage (très petite valeur, sans intérêt).
La rose représente la tension du deuxième condensateur dans le schéma.
Et la bleue c'est la base du transistor de droite.
Si j'ai bien compris le fonctionnement d'un 555, le clignotement à sa broche 3 se produit lorsque la tension du condensateur de gauche bascule entre 1/3 à 2/3 de la tension de référence (12V dans notre cas). Il va se charger tant qu'il n'aura pas atteint 2/3 de la tension de référence, suite à quoi il va se décharger jusqu'à ce ce qu'il atteigne 1/3, et ainsi de suite ad nauseam. Sur l'oscilloscope, on peut voir que la trace jaune oscille bien entre 4V et 8V (2V par division).
Mais voilà , pour qu'il atteigne les 2/3 la première fois, il part de zéro, et c'est plus long. Pendant ce temps, le condensateur de droite se charge, allume toutes les DELs, et reste ainsi jusqu'à ce que celui de gauche commence à se décharger.
La courbe bleue représente le temps où la DEL de droite est allumée, et on voit bien qu'à la première oscillation, elle reste allumée presque 2 fois plus longtemps.
Je réfléchis, et je n'arrive pas à trouver une solution à ce problème. (si problème il y a, puisque Serge pourrait très se contenter du circuit dans l'état où il est...)
Est-ce que la solution consisterait à donner une "impulsion de départ" à ce condensateur? Doit-on accepter que c'est dans la nature de la puce 555 d'hésiter avant de commencer à osciller en configuration astable? Est-ce que ce circuit se comporterait mieux si on remplaçait la puce 555 par un multivibrateur astable? (Exemple ci-joint)