Bonsoir,
j'ai oublié les explications!! Nous avons à droite l'entrée AC, qui sera redressée par un pont de diodes (boitier DIP4), puis filtrée par la grosse capa. Ensuite, les tensions sont régulées par les deux LM 317, entourés (en bas) par leurs résistances 'de réglage' et par leur OVP à leur droite.
Les connecteurs du bas sont ceux pour le coté alimentation, ceux du haut pour l'interface utilisateur. Les résistances + capas au milieu en haut sont celles des codeurs incrémentaux.
La briquette grise avec plein de broches est bien entendu le STM32, avec sont quartz de 8Mhz, le bouton RESET et les pins de test (bas gauche). Enfin, nous avons un cylindre gris (à gauche) qui n'est autre que le buzzer, et un boitier DIP8 (en haut à droite) qui est l'EEProm.
-pour les LM317, j'ai bien prévu des radiateurs, je n'ai juste pas trouvé leurs modèles 3D. Cependant, vous pouvez voir que les composants (notamment les transistors) sont légèrement écartés des LM317, pour cette raison. pour la puissance dissipée: pour 9V en entrée et 3.3V sous 500mA en sortie, nous avons une dissipation d'environ 3W (en gros). Mes radiateurs sont à 20°C/W, donc je serais vers 60°C maximum (et je compte en prendre des plus gros qu'actuellement). Ah, et si les LM317 sont couchés, c'est pour pouvoir superposer la carte analogique sur la numérique en cas de manque de place dans le boitier.
-Oui, il y a des ADC dans le STM32, MAIS: les signaux logiques devront parcourir des cables (mettons 10cm) juste à coté d'un transformateur... pas tip top... De plus, j'ai quelques MCP3422 en réserve, qui offrent l’opportunité d'une mesure différentielle, et avec une résolution réglable (de 12 à 18 bits), ainsi qu'un PGA. Mais oui, c'est plus cher...
Bonne soirée!
Cécile