Bonjour à vous, c'est dommage de ne pas proposer votre propre carte électronique par exemple. Votre projet est principalement le projet de l'assemblage d'éléments déjà pensés. J'aurais bien aimé y trouver une approche de la partie puissance ou une autre de la partie commande. Pour la partie logicielle, le code est en surcouche de fichiers tiers, en surcouche d'arduino, lui-même en surcouche d'avr, lui-même en surcouche du langage. Il aurait été intéressant là aussi pour cette partie logicielle de montrer davantage de choses qui ne sont pas déjà pensées par d'autres.
Imaginons un forum de cuisine où la présentation d'une nouvelle recette consisterait au déballage de plats préparés surgelés. Je pense que l'intérêt pédagogique serait limité, nous pourrions certainement y apprendre des durées de décongélation, mais quoi d'autre ?
Autre remarque :
- Soudure = non
L'assemblage des composants sur un pcb est de la brasure. Lors de la brasure les pièces à assembler ne rentrent pas dans un état de fusion, il y a forcément donc un matériau d'apport (des métaux généralement). Lors de la soudure, les pièces à assembler rentrent dans un état de fusion, c'est souvent accompagné d'un métal d'apport aussi.
Autre remarque : le calcul des coups par unité de temps pourrait être glissant dans le temps, et donc l'affichage pourrait être immédiat.
Autre remarque : pour déceler le rayonnement alpha il faudrait un tube équipé d'une fenêtre en mica.
Autre remarque : il est important de préciser qu'un compteur Geiger-Mà¼ller est un ictomètre, autrement-dit seulement un compteur de coups. Un compteur Geiger-Mà¼ller ne peut pas estimer le débit de dose comme on le constate souvent sur les appareils du commerce grand public, ces appareils ne peuvent qu'effectuer une approximation qui de fait, est fausse, c'est-à -dire sous-évaluée ou surévaluée.
Davantage pertinentes sur des appareils professionnels, plusieurs unités de mesure standards (ou dérivées du système standard) existent et permettent de quantifier le niveau de radioactivité et la dose reçue. Chaque unité est à placer dans un contexte précis de mesures par rapport aux conditions et à l'environnement associé, ceci afin d'éviter de fausses interprétations des résultats. Plusieurs paramètres interviennent pour quantifier la radioactivité :
- La nature de l'émission (Alpha, Beta, Gamma, X).
- La distance (à 1 cm, à 1 mètre, etc...).
- La durée d'exposition (1 seconde, 1 heure, etc...).
- Les parties du corps exposées au rayonnement (les effets seront bien différents selon la zone exposée).
- La sensibilité du matériel utilisé pour effectuer les mesures.
Une liste de quelques unités de mesure :
- Le Sievert (Sv) : établi une estimation de l'impact biologique de la radioactivité sur le corps humain (par unité de temps en heures ou en années).
- Le Becquerel (Bq) : est l'activité d'un radio-nucléide. Souvent indiqué par kilogramme de matière, 1 Becquerel signifie 1 désintégration d'atome / seconde.
- Le coup / seconde (Cps) : de même nature que le Becquerel mais sans quantification de la quantité de matière.
- Le Gray (Gy) : représente l'énergie (en Joules) apportée à une masse homogène d'1kg.