Merci pour votre réponse.
Non, c'est une perception et ça ne brillera pas deux fois moins. Avec une sinusoïdale, le rms étant tension de crête ෠√ 2, mais la del ne fait pas de moyenne rms contrairement à l'inertie d'un fil à incandescence. Éventuellement si la fréquence est suffisante nous allons percevoir sa luminosité tension de crête ෠√ 2.
Exemple : avec un cycle de 50% d'un pwm avec une fréquence assez supérieure à la persistante rétinienne ma del est sensiblement diminuée de 50% de sa luminosité en apparence, en réalité elle brille à fond 50% du temps.
Je réfléchis sur ma question mais je ne suis pas certain que ça peut être un début de réponse votre idée avec le rms. En régime non continu il y a bien des calculs avec nombres complexes.
U = R à— I devient U = Z à— I où chaque terme est un nombre complexe, mais je me demande si ça s'applique d'une façon différente au delà du courant secteur sinusoïdal. Par exemple pour le pilotage d'une del ou d'un transitor, en tout cas en première approche pour avoir des valeurs de résistance correctes.
Ce que je ne comprends pas dans ce document : https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&opi=89978449&url=https://maths-au-quotidien.fr/lycee/docs/Maths_electricite.pdf&ved=2ahUKEwj4957MqpqAAxWeQ6QEHdQ2A6EQFnoECBUQBg&usg=AOvVaw1KZFhWJ6CtkOiM_I8s9v0T
À un moment on nous dit Z = U à· I
Et juste en dessous on nous dit Z = R + i X
Au final comment on trouve Z ??
Explications ? :)
Non, c'est une perception et ça ne brillera pas deux fois moins. Avec une sinusoïdale, le rms étant tension de crête ෠√ 2, mais la del ne fait pas de moyenne rms contrairement à l'inertie d'un fil à incandescence. Éventuellement si la fréquence est suffisante nous allons percevoir sa luminosité tension de crête ෠√ 2.
Exemple : avec un cycle de 50% d'un pwm avec une fréquence assez supérieure à la persistante rétinienne ma del est sensiblement diminuée de 50% de sa luminosité en apparence, en réalité elle brille à fond 50% du temps.
Je réfléchis sur ma question mais je ne suis pas certain que ça peut être un début de réponse votre idée avec le rms. En régime non continu il y a bien des calculs avec nombres complexes.
U = R à— I devient U = Z à— I où chaque terme est un nombre complexe, mais je me demande si ça s'applique d'une façon différente au delà du courant secteur sinusoïdal. Par exemple pour le pilotage d'une del ou d'un transitor, en tout cas en première approche pour avoir des valeurs de résistance correctes.
Ce que je ne comprends pas dans ce document : https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&opi=89978449&url=https://maths-au-quotidien.fr/lycee/docs/Maths_electricite.pdf&ved=2ahUKEwj4957MqpqAAxWeQ6QEHdQ2A6EQFnoECBUQBg&usg=AOvVaw1KZFhWJ6CtkOiM_I8s9v0T
À un moment on nous dit Z = U à· I
Et juste en dessous on nous dit Z = R + i X
Au final comment on trouve Z ??
Explications ? :)