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Messages - F-CLIC

#1
Salut, Le composant blanc est clairement un fusible. Reste à savoir son calibre !.
Une piste : si tu peux connaitre ou mesurer le courant de charge puis en prenant une marge pour le courant de départ éventuellement plus fort... Peut-être aussi que ce Z désigne dans tableau du fabricant du fusible le calibre et temps de réponse. Il faut dans un premier temps chercher sinon évaluer.
#2
Cela fait penser à des mauvaises tensions de pré-accélération et de focus, toute la chaîne de tensions qui assurent la focalisation du flux d'électrons peut-être même le pilotage du wenhelt (l'électrode qui est devant la cathode).
Habituellement le wenhelt est négatif par rapport à la cathode puis une électrode positive à plusieurs centaines de volts (accélération) puis le focus encore plus élevé puis une quatrième électrode un peu moins et souvent reliée à la première électrode positive ensuite viennent les plaques déviatrices et enfin la post accélération à plusieurs milliers de volts.
Comme le défaut n'est pas statique j'ai l'impression que ces tension sont mauvaises et variables. Sans un minimums de documentation ça sera difficile.
#3
Attention particulière aux diodes de redressement des fours microondes:
Elles sont constituées de nombreuses diodes en série dans le même boîtier ce qui fait que le seuil de conduction fait bien une bonne dizaine de volts, et vérifier le condensateur associé demande de l'outillage spécial et des précautions très haute tension.
#4
Ces deux schémas ne font pas la même chose: ils n'ont pas le même coefficient d'amplification : Le deuxième n'a pas de contre réaction et même est en réaction positive, il va partir en saturation dans les deux sens et son comportement dépendra beaucoup de l'impédance du signal d'entrée. Le premier est plus sage il va amplifier d'environ -4,4 fois. Mais tout dépendra aussi de l'impédance du générateur qui va se trouver en série avec R5.
#5
D'après ce que je vois la tension continue au bornes de ce condensateur doit être à  peu près nulle.
#6
Bonjour avec du temps de réflexion.
Les capacité autour du quartz peuvent être vues comme en parallèle avec l'entrée et la sortie de l'inverseur logique qui est l'élément amplificateur de l'oscillateur, mais vues du quartz elles sont en série en ce qui concerne le quartz lui-même et ce groupe en série est en parallèle avec la capacité équivalente parallèle du quartz. Ne pas oublier que les broches du quartz ne sont pas à  la masse.
#7
Il existe aussi des des circuits à  pastilles 1.27mm, mais c'est petit et finalement ça fonctionne pour les SO8 mais pour les résistances, condensateurs, diodes ça ne tombe pas toujours au bon pas où alors il faut prendre vraiment petit .
#8
En théorie oui, en pratique c'est plus compliqué. Le Hfe ou gain en courant béta n'est pas constant en fonction du courant de repos du transistor, de la température, de la tension Vce et pire encore d'un transistor à  l'autre du même type. Il est courant dans les datasheets de voir un écart de deux fois par exemple dans le cas d'un vieux transistor le BC109C Hfe est compris entre 450 et 900!
La mesure avec un multimètre permet de dégrossir le travail mais guère plus car le transistor ne travaillera probablement pas comme dans l'application voulue. Dans un circuit réel on se débrouille pour que par le schéma le gain soit garanti par une contre réaction ce qui permettra une stabilité en température ainsi que la possibilité de changer le transistor en cas de panne.
De le cas d'un montage en collecteur commun ce qui nous sauve c'est que la contre réaction est totale le gain en tension est toujours légèrement inférieur à  un donc la polarisation automatique avec une tension de repos égale à  environ la moitié de la tension d'alimentation est facile à  obtenir et donne une bonne stabilité thermique. Il faut quand même savoir de quel courant de repos on a besoin, quelle composante alternative du signal.
#9
Bien vu, pour l'application envisagée il faudra "détordre" la courbe logiciellement et finalement je n'ai pas besoin d'un grande précision, mais il me reste plus qu'a acheter d'autres cartes pour essayer...
#10
Quand j'ai commencé à  travailler dans l’électronique la plupart des régulation d'alimentation se faisaient par régulation série; quand la tension secteur baissait la régulation compensait en perdant moins de tension et effectivement la puissance consommée diminuait. Sur les éclairages à  filament ou fluo pas de régulation si on baisse la tension on baisse la consommation.
Aujourd’hui avec les alimentation à  découpage si on baisse la tension le courant consommé augmente et la puissance reste constante à  peu près. Évidemment il y a toujours des consommateurs électriques qui ne sont pas régulés mais il n'est pas sûr qu'il consommeront moins pour autant: par exemple un chauffage à  résistance si il possède un thermostat chauffera moins fort à  chaque cycle mais plus longtemps, une pompe qui doit monter de l'eau à  niveau idem, si faites un trou avec une perceuse vous mettrez plus longtemps peut être que vous consommerez plus d'énergie...
#11

Bonsoir PB (ici c'est 22h00) Un petit résumé chiffré du souci:
Atténuation par défaut (il faut savoir que l'esp32 possède un atténuateur ajustable sur les entrées)
- De 100 points convertisseur à  400 points; 100 points correspondent à  80mV
- de 900 points à  3000 ; 100 points correspondent à  un peu moins de 79mV c'est presque bon
- de 3000 à  4000; il n'y a plus que 58mV pour 100 points là  ça ne va plus
en dessous de 100 et au dessus de 4000 il y a je pense des zones mortes ou de saturation (convertisseur 12 bits) et tension analogiques qui se rapprochent des rails d'alimentation. Les mesures ont été faites en faisant des moyennes sur 1000 afin de filtrer les parasites pour 16 valeurs entre 197 mV et 3.062V.
J'ai fait aussi des mesures sans atténuation dans l'esp32 mais là  il faut des tensions plus faibles et l'erreur de résolution de mon voltmètre cache celle du convertisseur malgré tout j'ai l'impression que le défaut est moins fort mais toujours dans la même allure.
#12
Bonjour à  celles et ceux qui passent ici, Je fais quelques essais de mesures analogiques en vu de faire un déchargeur d'accu 12v au plomb, je pratique un peu les ESP32, ils peuvent faire beaucoup de choses mais la linéarité de leur ADC n'est pas terrible avez vous des retours d'expérience sur les pico pi, stm32 ou autre ?
Le fait que l'adc de l' esp32 ne démarre pas à  zéro n'est pas bien grave et quelque part ne m'étonne pas mais j'ai fait des relevés avec plusieurs choix d'atténuation et la montée fait un coude dans la partie haute de la courbe.