Bonsoir Jean Louis,
Merci pour ta réponse.
Je te soumets
deux simulations, la première avec une
résistance de 450 Ω (
assez craignos...), la seconde
plus sioux avec un atténuateur "adapté " à l'entrée de la sonde (ça fait une sacrée différence !).Je suis parti des hypothèses suivantes:
- l'appareil de mesure est , bien sûr, en 50Ω mais possède une
capacité parasite de 2.1 pF (...valeur absolument arbitraire

)
- la sonde est reliée à l'appareil de mesure par un coax 50 Ω sans pertes de
longueur 120 cm (c'est celle de la sonde passive Auburn que je possède et que je suppose être du RG 316).
Pour la première simulation:
j'ai mis en série à l'entrée du coax une
450 Ω supposée parfaite. Le résultat est édifiant (et tout à fait normal par ailleurs) : jusqu'à 120 MHz, c'est tout à fait utilisable mais au delà ça part en sucette: l'impédance réactive ramenée en entrée du coax devient "périodique" selon le nombre de demi-longueurs d'onde dans le câble et l'amplitude crête-crête du niveau atteint 10 dB à 3 GHz =>
sonde à la poubelle !J'ai alors imaginé de placer un
atténuateur de 20 dB à l'entrée même de la sonde avant le coax donc . Cet atténuateur est calculé (par RFSim99) pour 20 dB, Zin = 500 Ω , Zout = 50 Ω .
Ça change tout ! C'est maximally flat avec une bande passante de 3 GHz à -3 dB. L'atténuation S21 est de 24.8 dB dans la bande et mériterait d'être "fine tuned" mais le principe semble adéquat.
Mais la réalisation pose qq pbs: résistances de valeur élevées... pas simple en pratique comme je le signalais ce matin => mise en série de résistances et donc inductances et capacités parasites un peu partout..Je ne crois pas que ça marcherait aussi bien qu'en simulation.
Bonne soirée
Yffig