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Messages - cb28

#1
Bonjour Jean Louis,

Merci pour les infos ! il s'agit d'un potentiel du rail sncf par rapport au sol.
J'ai fais un test en injectant avec un GBF un signal de 100mV sinus à  l'entrée du dictaphone mais il n'enregistre rien.
J'ai bien sur testé avant l'entrée avec un micro cravate et il enregistre bien la voie.
Il n'y a pas une histoire de câblage et/ou d'alimentation CC à  fournir pour que cela fonctionne ?
Ce fichus micro cravate est indémontable, je ne peux pas fliquer les signaux qu'il retourne au dictaphone.
#2
Bonjour à  tous,

Je souhaite enregistrer sur de longue période des formes d'onde avec une tension variable élevée (+/- 100V). La fréquence varie de 0 à  environ 20Khz
Puis j'aimerai les reproduires ces formes en laboratoire mais avec de la puissance pouvant aller de 0 à  400W sous 12 ohms.

Pour la partie puissance (reproduction du signal), j'ai trouvé une astuce qui consiste simplement à  modifier quelque peu un amplificateur de puissance.
J'ai fais des tests avec générateur de signaux en entrée de l'amplificateur de puissance et sans surprise cela fonctionne très bien.

Pour la partie enregistrement, je penser faire un simplement pont diviseur de tension sécurisé avec des TVS pour traiter le niveau de tension puis si nécessaire un AOP.
Après avoir transformer cette grande tension en une plus petite, je souhaite l'enregistrer avec un dictaphone ayant une entrée micro.
J'ai en ma possession un dictaphone de la marque Aomago 32GB.

Ma question est simple quel type tension peut accepter le dictaphone sur son entrée microphone ?
Il y a-t-il quelque chose à  savoir en particulier sur l'entrée micro, avant que je ne grille quelque chose ?
J'ai lu plusieurs textes sur les microphones mais franchement, je ne vois pas concrètement comment traiter mon signal d'origine vers cette entrée micro...

Merci beaucoup pour aide !
#3
Bonjour Papyblue,

Merci pour votre réponse. j'ai trouver la réponse à  ma question qui me semble bien bête maintenant.
Tout est une question finalement de référence de masse...
Il y a plein de solution permettant de travailler mono tension, notamment celle que j'ai choisi pour mon problème est de référencer la broche inverseuse à  une référence de tension supérieure à  la masse de mon circuit, c'est pour un simple système de comparateur avec hystérésis.
a+
#4
Bonjour à  tous,

j'aurai besoin de créer un montage inverseur avec un amplificateur qui ne peut être alimenté qu'en tension positive.
Avez-vous une idée du schéma possible ?

Merci
#5
Bonjour,

Merci d'avoir pris le temps de me répondre.
Effectivement avec une amplificateur bien choisi c'est plus simple.

Au plaisir de vous voir dans une prochaine vidéo !
#6
Bonjour à  tous,

Je reviens sur la vidéo de la sonde de court circuit, je me demandais s'il n'était pas possible de d'attacher la résistance R6 de 5,1 Mohms (celle servant au gain) à  une tension de 1 volt par exemple au lieu d'être attachée à  la masse.
Ainsi la lecture de la sonde serait référencée à  1 volt et il n'y aurait plus de problème d'offset proche du niveau zéro de l'ampli.
En suite, il serait facile pour le microcontrôleur de prendre sa lecture au-dessus de 1 volt, qu'en pensez-vous ?
#7
Bonjour Yffig,

Pour info, j'utilise professionnellement un oscilloscope 4 voies isolées Rohde-Schwarz (RTH1004), la sonde différentielle c'est pour mon bidouillage à  la maison...
J'ai eu l'occasion de comparer avec un oscilloscope à  voie isolée Tektronix TPS 2024B, j'ai obtenu sensiblement les mêmes résultats.

J'ai fait des recherches sur Google avec les mots comme "ripple and noise" mais sans succès, ma requête était trop généraliste pour m’apporter une solution.

Merci Beaucoup pour le lien et les suggestions !
#8
Je travaille dans le domaine de la protection cathodique.
En gros il s'agit de l'application d'une électrolyse sur des ouvrages enterrés de type canalisation de gaz afin de les protéger contre la corrosion.
Le bruit d'une alimentation en soit n'est pas réellement un problème, s'il reste approximativement dans les préconisations constructeur.
Quand as l'ondulation (ripple) cela doit réellement rester dans les spécifications constructeur car sinon cela implique de fortes contraintes de traitement d'un point de vue métier.
Par retour d'expérience, j'ai eu de grosses surprises entre la doc constructeur et la réalité.
Je dois donc me faire ma propre opinion sans faire appel au fabricant afin qu'il ne soit pas juge et parti.
Je ne suis pas spécialiste en électronique, il ne s'agit que d'une annexe à  mon métier en plus d'être une passion dans mes temps libres.


#9
Bonjour à  tous,

Je travail actuellement sur une alimentation à  découpage et je cherche à  mesurer correctement l'ondulation et le bruit de celle-ci selon les préconisation constructeur.

Le constructeur indique que ce test doit être réalisé selon les conditions suivante :
"Riplle and noise are measured at 20MHz of bandwidth by using a 12" twisted pair-wire terminated with a 0.1µf and 47µf parallel capacitor".

Je comprend bien qu'il faut que je limite la bande passante de mon oscilloscope mais l'histoire des paires torsadées et des condensateurs...
Je ne vois pas  comment brancher cela ?

voici la documentation de cette alimentation : https://www.meanwell-web.com/content/files/pdfs/productPdfs/MW/UHP-1500/UHP-1500-spec.pdf

grand merci !
#10
Salut Curiosus,

Je me douté un peu de la réponse il n'y a donc pas de limiteur de courant interne dans le pic...
Merci.

  ;D V ;D
#11
Bonjour à  tous,

J'ai toujours mis une résistance en sortie d'un PIC avant d'attaquer une LED.
Néanmoins sachant que par exemple j'utilise un PIC qui ne peut pas débiter plus 20mA par sortie et que j'y raccorde une LED de 20 mA.
Ne puis-je pas m'affranchir de la résistance ?
Ou autrement dit le PIC a t il une limitation de courant interne qui me permettrait de brancher une LED de 20 mA en directe ?

Merci
#12
Bonjour à  tous,

Merci Jacques pour tes nombreux conseils avisés !
L'isolation semble parfaite pour le moment et réglage sont relativement simple garce aux potentiomètres 25 tours.
Il faut tout de même que je prenne le temps de tester plus sérieusement cette sonde. J'ai la chance au travail d'avoir une allime pouvant aller jusquâ€™à  150 V mais aussi de pourvoir tester la sonde sur un calibrateur fluke 5500E.

Voici également une petite vidéo du premier test.

https://youtu.be/xEdL4kTq9Xg

A+

Damien cb28
#13
Bonjour Jacques,

Je vais essayer de répondre au mieux à  tes interrogations...

Impédance d'entrée minimum de la sonde en mode commun : 100 Mohms

Ce choix peut surprendre, mais je travaille sur des choses parfois très volatiles. Pour que ce soi plus concret pour toi et ceux qui veulent nous lire, je mesure des variations de polarisation ou de dépolarisation de l’acier dans le sol (ex canalisation de gaz ou pétrole), autrement dit, j’analyse les potentiels de l’acier par rapport à  une électrode de référence dont le potentiel est connu et stable (Cu/CuSO4).
Le circuit de mesure se résume ainsi, il y a une résistance intrinsèque à  l’électrode de mesure d’environ 7 kohms (Re), j’ai une résistance de contact électrode/sol (Res) qui est d’environ 1 kohm et une résistance de contact canalisation/sol (Rcs) qui est d’environ 400 ohms.
Donc le circuit de mesure n’a pas une grande résistance en soit (Re+Res+Rcs) 7+1+0.4 =8.4 kohms.
Le fond du problème réside plus dans la disponibilité des électrons à  la couche double de l’acier. En gros on veut mesurer un potentiel mais qui n’est pas infini et le fait de détourner un tout petit courant de cette polarisation tronque rapidement sa valeur. Et malheureusement c’est justement « l’entièreté » de cette valeur que l’on cherche à  mesurer ! Un peu comme si l’on devait mesurer une pile de 1.5V qui  pourrait seulement fournir 1µAh, rien que le fait de l’avoir mesuré on l’aura un peu déchargé...

Tension différentielle linéaire max : +/- 120V, (à  l’entrée du montage avant les résistances)

En général, les potentiels que je mesure excèdent rarement les +/- 70V (ex : potentiel d’un rail avec un train en activité), donc 120V cela me laisse pas mal de marge en mode x10.
Je mesure aussi le niveau de saturation électrique de témoin métallique et la on mesure souvent quelques volts  (ex -2 ou -3V) en mode x1 cette fois.

De plus, je pense alimenter mon circuit avec deux piles de 12V (A23), donc rail to rail sans mauvais jeux de mots... ;)

Tension différentielle de saturation max : +/- 200V

J’ai parfois des pics de potentiel pouvant tendre vers cette valeur.

Tension de mode commun max : +/-200V

Je mesure également la différence directe de tension entre deux grands ouvrages métalliques touchant le sol pour réaliser des graphiques XY (ex : conduite de gaz et un rail de train). Dans ce cas l’isolation de la sonde sera mise à  rude épreuve car là , il ne s’agît pas que de polarisation mais plus d’une conduction directe.  Il s’agit entre autre d’un transite des courants vagabonds, donc très énergétiques. A titre d’exemple une conduite de gaz qui échange indirectement à  travers le sol avec rail de chemin de fer peut faire transiter plusieurs dizaines d’ampère sous plusieurs dizaines de volt !

Tension de mode commun de saturation : ?

Il me semble que c’est la même chose la tension de mode commun max, non ?

Réjection du mode commun : ? , je ne sais pas comment la calculer,  je dois encore me documenter. Les dB, il faut un peu de temps pour s’y habituer comme toutes les autres unités de mesure! ;)

Néanmoins, il est possible que je branche mon oscilloscope sur la voie 1 dont la masse serait connectée à  une conduite de gaz par exemple et la voie 2 dont la masse serait connectée à  un rail de chemin fer. Sans séparation par la sonde, je ne donne pas cher de mon oscilloscope !
Quand bien même j’arrive à  réaliser un montage électronique correct, on parle alors de précision de mesure ou d’interaction entre les voies de mon oscilloscope. C’est la que entre en jeu les +/- 5mV, car je cherche à  mesurer avec une bonne précision le croisement du potentiel du rail par rapport au potentiel d’une conduite.

Enfin la réponse en fréquence ou la réjection du mode commun à  50 Hz, je ne sais encore une fois pas trop quoi répondre. A part que je cherche à  ne rien perdre du signal d’origine, je cherche à  l’avoir le plus brut possible.
Sa fréquence peut être extrêmement variable et il ne répond rarement à  une fréquence donnée.
A propos,  je me suis demandé pourquoi tu avais choisi pour ta sonde de telle fréquence au niveau du filtrage ?

Voici un graphique sur plusieurs jours à  titre d’exemple que je réalise avec des enregistreurs avec un échantillonnage à  la seconde. Bien trop lent pour ce que je veux obtenir et donc je préférerai passer à  l’oscilo.



Concernant les résistances d'entrée du schéma. J’avais bien noté que pour conserver une rejection en mode commun la meilleure possible, il fallait que les résistances les plus « équilibrées » possible, d’où la topologie de mon montage.



Dans l’encadré en rouge, je reproduis le même principe que l’AD8479 soit un montage différentiel classique. Toutefois, comme je souhaitais ne pas trop avoir de déséquilibre provenant de la tolérance des résistances, j’ai mis sur l’une des branches un potentiomètre R5 (trimer 25 tours).
Sur la branche reliée au + de l’ampli nous avons R1+R3 soit 50+5=55 Mohms et sur la branche reliée au â€" de l’ampli nous avons R2+R4+R5a soit 50+2+3=55 Mohms.
Donc les branches sont bien équilibrées!enfin il me semble!et si je suis dans les bonnes pratiques ?

Pour l’ampli je vise un ampli de type FET bien plus abordable que les amplis isolés.
Et enfin de compte, je suis dans la même démarche que toi (l’expérience en moins), je cherche à  réaliser une sonde économique néanmoins bien moins universelle que la tienne et qui répondent à  des contraintes propres à  mon métier.

Désolé pour la longueur de ce texte  ::) , il fallait que je prenne le temps de te détailler tout ça. J’attends ta réponse avec impatience !  :D

Damien
#14
Bonjour à  tous, bonjour Jacques,

Finalement pour résumer, Jacques m'a fait prendre conscience que l'ampli AD8479 n'est ni plus ni moins qu'un simple ampli monté en différentiel avec des résistances de précision.
Cette ampli n'étant pas tout à  fait adapté pour mon application, j'envisage d'exploiter un autre ampli.

Voici le schéma de principe pour critique afin de réaliser une sonde x1, x10 acceptant jusquâ€™à  150V avec 100 Mégohms d'entrée, quel est votre avis ?


A bientôt


#15
Bonsoir Jacques,

J'ai regardé les amplificateurs isolés. Malheureusement, leurs technologies permettent de travailler que sur la première partie linéaire du signal qui est seulement de 250mV.
Autant dire que pour mon application ça ne fait pas l'affaire mais je garde ça en tête car pour une mesure de courant sur shunt c'est le top !

J'ai cherché également un concurrent au AD8479 mais il est le meilleur dans sa catégorie.

Je vais donc surement faire comme tu me le suggères, mon propre arrangement sur un ampli quadruple standard. Suis-je à  la hauteur ? Ça c'est une autre question...
Ce sera en tout cas l'occasion d’appendre et de mieux comprendre !

Encore merci.

Damien cb28