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Bonjour Claude,

Votre idée d'atelier pour initier les jeunes est super, on ne peut qu'encourager cette démarche.
L'ESP32 est certainement un bon choix, performant et pas cher.
A votre place, je chercherais à limiter au maximum le nombre de références pour mieux maitriser celles retenues.
Il ne faut pas oublier l'environnement de développement (et les langages informatiques sous-jacents), la multiplication va générer plus de travail (supports, etc...)
Il faut également regarder du côté des cartes facilitant les connexions des microcontrôleurs au monde extérieur (plaques à bornes par exemple)
Quand vous parlez de "manipulations" à quoi pensez-vous exactement ?
Il n'y a pas de microcontrôleurs "blindés" résistants aux attaques mécaniques, électriques, chimiques,...
Une formation en électronique doit commencer par une sensibilisation sur les ESD, l'atelier doit être équipé avec les dispositifs adéquats (tapis, bracelets,...)
Je suis impatient de voir les outils que vous avez développés.     

Bonjour,
Le problème ne venait pas de la THC (pas encore connectée) mais d'une rallonge de port parallèle qui avait un blindage insuffisant (et se comportait comme une antenne)
Chinesische Qualität !
La suppression de cette rallonge a résolu le problème.

Bonjour Mike,

Le projet que vous envisagez de réaliser est un système complexe.
Dans ce cas, il y a beaucoup de questions à se poser et il faut les poser dans le bon ordre !
Pour éviter de refaire plusieurs fois (et se dégouter) il faut viser à faire bien du premier coup.
Pour cela suivez une méthodologie d'ingénierie Système reconnue ou mieux normalisée.
Vous trouverez des informations sur internet sur le sujet.
Vous devrez être capable de rédiger une spécification de votre système en termes de performances.
Par exemple : le robot doit avoir une autonomie de 24 heures
le robot doit comprendre mes ordres quand je parle "normalement" à une distance de 5 mètres
etc...
Ensuite on va définir une architecture qui va répondre aux exigences précédemment définies puis allouer aux sous-systèmes ces exigences.
par exemple : le sous-système motorisation prendra en compte l'exigence d'autonomie, de vitesse minimale, de poids, etc..
Puisque c'est un système, les sous-systèmes vont avoir des interfaces ( mécanique, électrique, communication, etc), il va falloir les définir.
Cette phase "papier" est très importante, quand elle est terminée on a fait 50 % du travail.
Elle est terminée si quand on donne à un sous-traitant les documents de spécification qu'on a la certitude qu'il réalisera (avec ces seuls documents) le produit attendu (qui s'intégrera avec les autres)
Pour faciliter la réflexion, vous pouvez définir des cas d'usage ("use case")
Parmi les exigences que vous aurez fixées certaines seront critiques (cas où le projet ne fonctionne pas si elles ne sont pas satisfaites), vous serez peut-être amené à faire du "maquettage" pour lever le risque de ne pas atteindre l'objectif. Du maquettage peut être également utile pour choisir entre deux solutions alternatives.
L'ingénierie, c'est toujours une recherche de compromis : par exemple autonomie de la batterie et le poids
Vous pouvez définir également des modes dégradés par exemple : en dessous d'un certain niveau de batterie le robot ne se déplace plus mais communique avec l'utilisateur.

Faire du papier peut sembler rébarbatif pour un bidouilleur et gâcher le plaisir  du "maker" impatient de brancher son fer à souder et de coder mais cela augmente fortement les chances de succès et facilitera la maintenance ou les évolutions par la suite.
En tout cas, je vous souhaite de réaliser votre rêve.

Bonjour,
cela aurait été un plus d'ajouter une temporisation entre le relâché d'un bouton et l'action de l'autre de manière à éviter de commander le moteur dans un sens alors qu'il tourne encore dans l'autre.

Bonjour,
Il y a un bug :
Bouton2 == HIGH  va donner un booléen ( donc 0 ou 1 )
or digitalRead () attend un numéro de broche
il fallait écrire :
if (digitalRead(Bouton2) == HIGH )

Bonjour,
Oui vous avez raison, le plasma est un magnifique générateur de perturbations de toutes sortes. J'ai moi-même galéré avec une CNC sous mach3 qui plantait au démarrage de la torche.
L'isolation galvanique est fortement conseillée (et même plus), elle peut être double comme dans le diagramme joint d'un THC du commerce.
D'une manière générale les règles de l'art de la CEM  doivent être respectées (en particulier masses et blindages) car l'isolation galvanique ne protège pas des problèmes de rayonnements.
Les solutions que vous proposez sont à priori envisageables, les plus simples sont souvent les meilleures. 

Bonjour,
On ne voit pas bien sur la photo si la piste a été arrachée ou pas. Si la surface est étamée alors c'est juste dessoudé et facile à réparer. De la pate à braser et un pistolet à air chaud ça devrait le faire. Le connecteur à re-fixer semble entièrement métallique et devrait supporter la chaleur.

Bonjour Jérôme,

Pour que nous puissions vous aider il faut que vous nous donniez la référence du produit, des photos, des liens sur la notice, etc...

Bonjour,
Le rôle de l'intégrateur est de faire la SOMME.
Ici on cherche à réaliser un fréquencemètre c'est à dire compter un nombre d'évènements par unité de temps.
La tension de sortie doit donc être en lien direct avec ce nombre d'évènements (pour pouvoir graduer un galvanomètre par exemple)
Cette tension de sortie ne doit varier qu'en fonction de cet unique paramètre elle a la forme : S = kf + V.
Comment fabrique t-on la constance k? C'est là qu'intervient le monostable, l'évènement en lui-même a une durée nulle il faut donc lui donner une durée pour qu'il ait une énergie (ou une surface graphiquement parlant).C'est le cumul de cette énergie (ou surface) que l'on va calculer avec l'intégrateur qui fait une moyenne glissante.
D'où vient l'évènement ? Il peut être obtenu de plusieurs manières, le plus simple ici c'est un comparateur avec une tension fixe.
Il faut veiller toutefois que cet évènement se produise une fois dans un cycle  (et une fois seulement) dans toute la plage d'évolution possible du signal, c'est à dire en prenant en compte sa variation de fréquence, d'amplitude et de forme.
Cela peut nécessiter un traitement du signal en amont par exemple en limitant la bande passante à celle utile (rejet de la fréquence du secteur) ou en normalisant le signal si celui-ci varie dans une plage importante.

Bonsoir,
Les "repair café" sont une excellente idée pas assez nombreux à mon avis et les gens n'en pas encore ce reflexe.
certains n'ont même pas le reflexe du réparateur: un jour ma belle fille me dit qu'elle a commandé une machine à laver parce que la sienne est en panne.
Je lui demande : elle n'est pas réparable ? elle me répond je ne sais pas il y a un code d'erreur.
je lui dit alors apporte la moi je vais regarder. Je tape dans google le défaut et en quelques secondes jobtiens la cause et la solution.(souvent les équipements ont des faiblesses réccurentes)
je remplace la résistance du capteur à effet hall pour 0 euros et c'est reparti. Ma belle fille a annuler sa commande et économisé 600 Euros. 

Bonjour,
La réparabilité vue d'un bidouilleur et vue d'un industriel n'est pas la même.
Il y a d'abord le prix qu'un client accepte de payer par rapport au prix du produit neuf.
Le taux horaire du technicien prend en compte son salaire, les charges, le cout de la structure (bâtiment, électricité, etc) A cela il faut ajouter des couts administratifs (gestion de dossiers) et commerciaux(accueil)
Bref, il y a un cout minimal de 50 euros ce qui fait qu'un produit de 100 euros devient "économiquement" irréparable.
Je suis peut-être en deçà de la réalité car récemment on m'a remboursé une centrale vapeur sous garantie de plus de 100 Euros en me disant que ce produit n'était pas réparable.
Pour nous les bidouilleurs, c'est différent nous sommes presque contents d'avoir quelque chose à réparer, souvent curieux de voir comment c'est fait et très souvent satisfaits d'avoir trouvé la panne et réparé parfois pour seulement quelques centimes. 

Bonjour,
Si le signal à traiter ressemble à que que l'on voit sur cette vidéo :
https://viasonix.com/fr/vasculaire-angiologie/lecture-de-la-photo-plethysmographie/
alors un simple comparateur suivi d'un monostable puis d'un intégrateur devrait suffire.
L'ajout d'un filtre passe-bande 0,5- 3Hz sera juste un plus pour une meilleure note !

Bonjour,
pour le monostable j'ai trouvé cela :
https://ressources.univ-lemans.fr/AccesLibre/UM/Pedago/physique/02/electro/monoaop.html

Je viens de me rendre compte que j'ai mal lu ton besoin. J'ai pensé à tord que le signal d'entrée était de type électrocardiogramme mais en relisant ton premier message je vois que c'est un capteur optique.
Pour déterminer le traitement du signal qui convient il faut d'abord analyser ce signal pour déterminer comment on peut en extraire l'information qu'il contient. Peux-tu nous donner une image de ce signal ?
Sinon j'ai un petit souci avec la simulation, je n'ai pas de modèle de la diode 1SS322 peux tu mettre une diode standard? J'ai également des liaisons non connectées ??
Pour le signal d'entrée, pourquoi ne pas utiliser un fichier PWL ?

Bonjour,
Si, on peut mettre des images sur le forum, il suffit des respecter la taille des fichiers.
Si le mot "monostable" pose problème , on peut toujours calibrer une impulsion avec un comparateur.
(un monostable est d'ailleurs plus analogique que numérique)
Que la fréquence cardiaque soit étudiée entre 0,5 et 3 Hz ok mais si on s'intéresse au pic (qui a surement un nom en médecine mais je n'y connais rien) sa fréquence doit être au moins dix fois supérieure. Ce n'est certainement pas la seule façon de mesurer la fréquence cardiaque mais on ne prenant que cette partie du signal cela parait plus facile.
Quel signal mets tu en entrée de ta simulation ?